Son travail
Des images du passé, du présent, du futur…
Un peu d'histoire, un peu d'elle...
Ondine Devis Steinmetz, ODS, est une artiste peintre autodidacte. Son premier coup de pinceau, c’est à l’instinct, en 2018, qu’elle l’a posé, d’abord sur du papier. “J’ai fonctionné purement à l’instinct, selon mes envies et ce besoin de me lancer dans la créativité. Au départ certainement de façon maladroite mais très rapidement j’ai acquis de plus en plus de techniques.”
Son parcours professionnel, jusque-là, ne lui avait pas tellement permis d’accéder à son côté créatif pourtant là depuis toujours ancré en elle. Une brève expérience exaltante dans la maroquinerie en 2008, l’avait pourtant déjà menée sur ce chemin… Mais ce n’est que 10 ans plus tard qu’elle est enfin prête à s’y abandonner.
C’est durant la période de confinement due à la Covid que tout s’est accéléré ! Ce temps suspendu a laissé place à une grande liberté au profit de son imagination, sa créativité illimitée et l’exploitation de ses tubes et pinceaux. Ses couleurs ont volé dans tous les sens et sur moult supports comme la toile, le drap, le bois, le mallon en terre cuite, la voile de bateau ou de simples bâches… S’inspirant de grandes figures artistiques et emblématiques ou simplement d’animaux qu’elle aime à croquer, elle y ajoute sa touche artistique dans une multitude de couleurs. Elle réunit aujourd’hui une trentaine de toiles allant du format carte postale à 2m40. Aucune d’entre elles ne sont à vendre car elle s’évertue à donner de l’amour qui ne s’achète pas !
Mais encore ?
ODS est dans le don de soi, dans le partage d’influences positives, telle une ‘distributrice de bonnes ondes’ ! Depuis peu, après plusieurs demandes, elle a décidé de décliner ses créations sur divers supports. Elle propose donc ses toiles sur tirages Komacel, Alu-dibond, posters…
Aujourd’hui ODS vous propose ses créations multi-supports avec les bleus de chine, tee-shirts reproduisant ses toiles favorites. Sont aussi disponibles des mugs, totebags et divers objets décoratifs, l’accent bien entendu est mis sur la personnalisation d’objets et de tenues.
D’ailleurs, plusieurs grandes institutions marseillaises en restauration ont déjà passé commande.
Retrouvez parmis nos ambassadeurs :
- chez Jeannot, avec la création ‘Le Vallon des Auffes’
- L’Esplaï du Grand Bar des Goudes, avec ‘L’Esplaï’
- La Brasserie O Quinze,
- Chez Madie Les Galinettes,
- l’épicerie Fernand et Lily ,
- le fameux Cabanon de Paulette et bien d’autres encore…
Actuellement vous pouvez retrouver ODS au 20, rue Pierre Dupré, 13006 Marseille.
Sa vie, son oeuvre... mais surtout sa vie
Ondine Devis Steinmetz est née le 4 février 1974, dans le Colorado, aux U.S.A d’où sa mère est issue. Elle n’y vit que ses deux premières années avant de rentrer dans le pays de son père : la France. La famille pose ses valises d’abord à Paris en 1976 où ses deux parents officient comme artistes. Très vite c’est à Marseille que ce clan un peu bohème et hippie décide de s’installer. Ondine n’a pas une vie toute rose mais baigne dans le milieu artistique et original de sa famille.
Depuis sa maman, grande artiste (on lui doit notamment la création particulière de la veste à franges en cuir pour Jimmy Hendrix), jusqu’à sa grand-mère, Jeanne Devis, cheffe d’atelier chez Dior et Saint-Laurent dans les années 60 dont sa tante était le célèbre mannequin, Victoire Doutreleau.
Même son grand-père, Pierre Alary, professeur de dessin aux Beaux-Arts de Rennes, était croqueur de célébrités dans la fin des années 50 et auteur de contes à ses heures perdues…
Il ne faut pas oublier son père, Pierre Devis, qu’elle a perdu trop tôt, fantasque intermittent du spectacle et touche à tout, de la comédie à la peinture, on lui doit aussi un pancho, une pièce spéciale conçue en collaboration avec Paul Pascarella, pour Jack Nicholson.
Ajoutons à cette famille hors du commun, son oncle, artiste peintre reconnu de notre époque.
Ondine reconnaît aujourd’hui que l’influence de ce milieu ‘familio-artistico-bohème’ lui a permis d’avoir toujours cet esprit ouvert sur l’ailleurs, même si sa vie l’a obligée à garder les pieds sur terre. C’est depuis 2018, après s’être toujours battue pour avoir une existence heureuse en se donnant les moyens coûte que coûte, multipliant tous les petits boulots comme les grandes initiatives professionnelles, qu’elle s’accorde enfin cette pause pour revenir aux sources. Après tout ce temps, son côté artistique génétique enfoui en elle a fini par rejaillir instinctivement lors de ses 44 ans.
Sur cette vidéo, vous retrouvez un cliché historique du démarrage de l’aventure de Yves Saint-Laurent entouré de Victoire Doutreleau, Pierre Licard et Pierre Bergé.
Quelques unes de ses œuvres en peinture…